le résumé de
l'éditeur:
Après huit longs mois d’attente, Ryan se voit enfin confier sa
première mission CHERUB.
Sa cible : Ethan, un jeune Californien privilégié passionné par
l’informatique et le jeu d’échecs. Le profil type du souffre-douleur idéal…
sauf que sa grand-mère dirige le plus puissant syndicat du crime du
Kirghizstan. Si Ryan espérait profiter de cette opération pour bronzer sous le
soleil californien, il déchantera bien vite…
Intro:
Une belle couverture, un résumé qui donne envie, de quoi promettre un bon
livre, tapé de la série CHERUB. Une série qui m'a très rarement déçu.
Mon avis:
Qu'est ce que je suis heureux de retrouver la série que j'avais
arrêté il y à quelques mois, frustré du départ de James. (le héros ) (Enfin
l'ancien).
Dès le début, je reprends mes marques. Je retrouve le style qui rend adicts
de Robert Muchamore . L'action n'est pas encore au rendez vous, mais, déjà, on
est comblé.
L'action n'est pas là? Ne vous inquiétez pas! Elle arrive. Avant qu'on s'ennuis,
au bon moment, après la présentation des personnages, on arrive dans le vif du
sujet. Le nerf de la guerre. Bien qu'il n'y a pas de guerre. (c’est une
métaphore). Mon art est incompris.
Bref,
démarre là, vers la 50ème page deux histoires en parallèles. Celle de Nine,
immigrée de 12 ans. Et qui... Non, vous verrez, et celle de Ryan l'agent
CHERUB.
Et puis, on tombe un peux dans du monotone. L'action ralentie. Je ne comprends
pas certains passages. Peut être est ce du au fait que j'ai changé mon oreiller,
perdu en confort, et donc été plus sévère? Peut être. Mais en tous cas, et
c'est indéniable, on s'ennuis.
Et ce qui est bien, avec CHERUB, c'est que ça ne dure pas trop longtemps.
Enfin on reprend du plaisir à lire. Enfin l'ambiance si spécifique à CHERUB,
repart. Pour notre plus grand plaisir. Et le suspens arrive. Enfin! On se
retrouve rongé. Ce qui est extrêmement positif. On rigole, et on à peur.
Et ça, c'est CHERUB.
En bref
Un bon livre, à part des périodes creuses. Une bonne intrigue. Et le livre
est fidèle au style de Robert Muchamore.
Ma note:
